Page:Sorel - Le Berger extravagant, 1628.djvu/829

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Le plus illustre de tous les bergers faisant manger le sainfoin et la treffle à ses moutons, cheminoit posément comme un homme qui resve sur quelque chose haute, et levoit gravement sa houlette à chaque pas, ainsi qu’un pelerin espagnol leve son bourdon. Il n’eut pas fait un quart de lieuë, qu’il passa un carrosse, d’où Hircan, Anselme,