Page:Sorel - Le Berger extravagant, seconde partie, 1627.djvu/791

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m’avois dit que tu l’es prenois toutes pour des sorcieres, et que tu voulois fuyr leurs assemblees comme celles du sabbath. Je vous prie que vous me pardonniez ces fautes, dit Carmelin, l’on avoit remply mon esprit de mauvaises opinions. Je le croy assez, et je te pardonne, dit Lysis, il estoit facile à juger que tu n’avois jamais eu qu’une feinte passion pour Parthenice, puisque tu la quitois si tost, et que tu l’abandonnois des que ce malheur