Page:Sorel - Le Berger extravagant, seconde partie, 1627.djvu/828

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A quoy m’attendray-je ? Miserable que je suis ; la fortune ne me rid jamais. Vous estonnez vous si la fortune ne vous rit point ? Repartit Hircan, avez vous jamais veu rire une personne qui est sur la roüe. Carmelin ne fut pas assez subtil pour entendre cette raillerie dés le commencement, mais enfin il se souvint que l’on met sur une roüe cette volage deesse. Il pria Hircan de ne le point affliger

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doublement en se gaussant de sa miser