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Page:Sorel - Le Berger extravagant, troisième partie, 1628.djvu/171

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trop divisees pour en resoudre, et si l’un loüoit un livre l’autre le blasmoit. Anselme leur remonstra encore qu’il n’y avoit rien en cela contre la raison, et que les romans estant des choses qui ne servoient que pour le plaisir, comme il avoit dit par sa sentence, l’on ne se devoit point estonner si les uns estoient estimez, et si les autres ne l’estoient point, pource que ce n’estoit pas comme les choses necessaires qui doivent estre generalement aprouvees.