Cette page n’a pas encore été corrigée
le vent ou par un coup de coignee : et ce qui est encore une chose fort ennuyeuse, c’est que presque à chaque page vous trouverez que quelque heros se jette de fureur sur ses ennemys, et qu’il est tousjours comparé à quelque beste farouche qui se jette sur un troupeau de moutons, où à quelque oyseau de proye qui fait la guerre aux autres, et qui mange les petits. Si de semblables comparaisons ne se trouvent dans le livre plus de quatre cent fois de bon compte, je veux que l’on ne me tienne jamais pour veritable. Outre cela il y en à d’autres qui ne sont pas si frequentes, mais aussi sont elles les plus impertinentes du monde. Les grecs marchans en champ de bataille sont comparez à des