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le vampire.

— Je vous répète que cela ne sera pas, sir James.

— Sir, permettez-moi de vous dire que cette détermination n’est basée sur aucune cause plausible ; elle est même folle.

— Non, vous dis-je ; il en arrivera ce qu’il pourra, mais jamais je n’épouserai la fille du duc de Firstland !…

— Mais, enfin, pourquoi, sir ?…

— Pourquoi ?… reprit le jeune homme d’une voix indignée ; parce que miss de Firstland est ce que nous appelons à Paris une lorette, une fille entretenue, voici pourquoi, sir James !…