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Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/41

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elle plaque, sur vos jambes fines, votre jupe légère ?

Il a bien fallu, cependant, qu’Apelle vît Phryné, sur le rivage d’Éleusis, vêtue de son seul sourire ; et Tiziano, Eleonora della Rovere, sans chemise, au sortir du bain… pour que les siècles aient pu s’agenouiller devant l’Anadyomène et devant la Venere d’Urbino !


Moi aussi, sur cette page, avec de jolis mots tremblants, je peindrais, si vous le permettiez, les merveilles que votre robe me cache, et, peut-être, un jour, quand nous serons morts, quelque poète, achetant mon livre, pour quatre