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Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/79

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III

JOUR NOIR


Le ciel, ce matin, était un store bleu pendu à l’ogive de la loggia… La bise l’a déchiré.

Goutte à goutte, maintenant, sur le perron de porphyre, la pluie pianote une sonatine.