Par les droits de l’abîme enfin tu m’appartiens…
Du réseau des enfers ma volonté t’enlace !
SEMIDA.
Éloïm ! Éloïm !
IDAMEEL.
C’est moi qui le remplace,
C’est moi seul…
O Jésus, ô divin rédempteur !
Rends à mon vol mourant sa première hauteur !
Jésus !… c’est un ami que mon enfer te garde ;
Tu veux revoir Jésus ! ., tiens, le voilà… regarde.. »
Il dit, et d’un seul geste et sans s’y replonger,
Entr’ouvrant le chaos comme un rideau léger,
Fait voir l’enfer, où Christ dans son humble puissance
Passe aux feux éternels sa robe d’innocence.
« Regarde, est-ce bien lui ?
Oh ! Christ sauveur !!
Suis-moi.