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Page:Soury - Le système nerveux central, 1899.djvu/1851

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ÉPOQUE CONTEMPORAINE

1835

Anciens schémas d’entrecroisement des nerfs opliques de Cuancur, Guasser, ele, 1399. — Méthode et doctrine d’Hexscnex. Centre cortlical de la vision limité à la scissure culearine. Le cas lypique. Point de cus de cécilé connu relevant d’une lésion de la convexité du lobe occipilal. si la radiation optique ct son lerriloire d’expansion sont reslés indemnes (Skcuix). Structure anatomique de l’écorce du fond et des deux lèvres de la scissure calcarine. Théorie analomique et physiologique de la projection de la rétine périphérique. Muxk. Moxakow, IIExSGuEx. Viaser. Ponts d’irradiation des parties centrale el périphériques de la réline dans l’écorce de la scissure calcarine. Rapports entre les parlies supérieure et inférieure du champ visuel et les lèvres de cette scissure. Chaque moitié des deux maculae est en connexion avec les deux hémisphères ; décussation partielle des fibres maculaires dans le chiasma, 1400-4. — Rétine cérébrale el sphère visuelle. Limiles étroiles du Lerritoire calearinien de projection des impressions visuelles (doinaine de l’hémianopsic), étendue peut-être très vasle du terriloire des représentations visuclles (convexilé du lobe occipital, pli courbe). Le centre visuel des mots localisé dans le pli courbe par Disenixe. Cellules distinctes de perception et de représentations 1405.

— Résumé, Constitution de la voie oplique chez l’homme : 1° neurone antérieur, cellules ganglionnaires de la rétine (nerf optique, chiasma, traclus) s’arborisant dans le corps genouillé externe ; 29 neurone postérieur, cellules du corps genouillé externe (radiations optiques) s’arborisant dans l’écorce du fond et des lèvres de lu scissure calcarine, 1405-6.

Mouvements réflexes et volontaires des yeux. — Mouvements des veux déterminés par l’excitation des lobes cérébraux. l’onctions oculo-motrices du lohe occipital. Scuïrer, 1406-57. — Critique de l’interprétation des expériences de Daxiiro. Expériences de Muxx et d’Ounecra. Les mouvements des yeux provoqués par l’excitation des sphères visuelles résultent de sensalions visuelles. Réflexes rétiniens et réflexes visuels innés el acquis. Ces mouvements des ÿeux. des paupières, de l’iris, suite de la transmission, par les fibres centrifuges de la couronne rayonnante des sphères visuelles, de l’excitation du lobe occipital à des centres sous-corticaux, 1408-10 ; : 1412. — Centres oculo-molcurs du lobe frontal, du lobe pariétal (Brenrenew, Genwen), 1411. — Expériences de Srkixen sur les mouvements des veux et de la tète chez les Vertébrés inférieurs confrmalives de celles de Seuärer et de Muxk. Les phénomènes moleurs de la sphère visuelle. résultat de sensations de la vue, ne sont pas altribuables à la diffusion du courant de celle sphère à la zonc motrice. Coupe de l’écorce entre les deux terriloires corlicaux. Voies directes centrifuges de la sphère visuelle à des centres sous-corlicaux. De mème pour les sphères auditive (mouvements de l’oreille). olfactive, guslative. Mouvements des— yeux après excitalion du tectum mesencephali chez les Poissons : ‘celte partie du cerveau moÿen correspond aux sphères visuelles du cerveau antérieur des Mammifères el des Oiscaux, 1412-15. — Développement comparé, phylogénique, des sphères sensibles de l’écorce par Srrixen. Epoques de l’excilabilité des sphères visuelles chez les Mammifères. Observalions sur la vuc des animaux nouveaunés. Méthode expérimentale : transformer la sensation subjective en un mouvement objectif. L’excitabililé des sphères visuelles plus tardives que celle des zones motrices. Cobaye, Chat, Lapin. Chien. Précocité de l’olfaction et de l’audition au regard de la vision chez le chien : celle-ci n’est développée (vision centrale el périphérique. orientation) qu’au quarantième jour. Epoque du développement de la sphère visuelle de l’enfant. Observations de RaAEnLMANX, 1416-19. — Mouvements de convergence el d’accommodation des yeux dépendant du lerriloire corlical de la vision du lobe occipilal déterminés par des perceptions de la vue. Kxies. Mouvements réflexes ou involontaires des noyaux des muscles oculaires dont la complexité des réactions correspond à celle des excitalions assaillant Îcs appareils périphériques des sens. Mouvements volontaires oculo-moteurs transmis à ces noyëux par les fibres de la couronne rayonnante du lobe occipital. Indépendance des mouvements volontaires el involontaires des yeux, des mouvemenis réflexes d’accommodation et de convergence des axes visuels, impliquent l’existence de perceplions visuelles, el des réflexes lumineux pupillaires. Altération de la convergence ct de l’accommodalion avec conservalion des réflexes oculaires d’ordre inférieur, 1410. Fonctions des tubercules quadrijumeaux antérieurs et des lobes optiques, des ganglions de l’habénule et de la commissure postérieure du cerveau. — Travaux dev. Moxarow sur les dégénérescences secondaires des corps genouillés externes. des lubercules quadrijumeaux, du ulvinar, conséculives aux lésions destruclives des organes périphériques el centraux de la vision. Trajet central des fibres irido-motrices. Le réflexe lumineux pupillaire et les réflexes d’accommodation et de convergence dans le tabes et la paralysie générale.Signe d’AncvLi RonrnTson, 1420 21 : 1423. — L’arc réflexe d’innervalion de l’iris de Wenxicke. Levnex. Recherches expérimentales de Mexper ; dégénération du ganglion habenulae oprès l’iridectomie. Recherches non confirmalives de Moxakow. Sirmencixc, Massaur. Slalion interniédinire inconnue reliant les deux termini de l’arc diastallique du réflexe lumineux de l’iris, L’onde nerveuse centripèle doit altcindre directement le noyau de l’oculomoteur, 1424 ; 1438-39.

Centres trophiques des nerfs optiques. — Influence trophique directe de la rétine sur les nerfs optiques. Microphthalmie. Anophthalmie. Pseudencéphalie, ele, Pieuner, Giovaxanpr. Atrophie des éléments rélinieus, des nerfs et des lobes optiques chez les Invertébrés el Vertébrés vivant sous Lerre, elc., 1424. — Phénomènes de compensalion (sensibilité tactile, etc.). Origines phylogéniques de l’organe et des sensations de ln vue. Les fonctions pholodermaliques sont les plus anciennes du sens de la vision. Contractions réflexes. Coutraclions réflexes analogues à celles de l’iris déterminées par la