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Page:Soury - Le système nerveux central, 1899.djvu/1856

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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

dernière de l’auteur sur la structure et les fonclions du système nerveux central. Mécanisme des processus psychiques de l’écorce Lélencéphalique. Nature de l’intelligence, fonction des faisceaux ou des centres d’associalion. Ce livre est l’histoire des organes el des fonctions de l’intelligence, 1536-38, THÉORIE DES NEURONES

I. Golgi. — Méthode de la coloralion noire ; méthode lente primilive, Ere nouvelle pour l’étude des problèmes de l’anatomie el de la physiologie du système nerveux central. Jugement de Kürsrnen sur les procédés nouveaux d’imprégnalion cl de coloralion, 1539-40. — Les précurseurs. Meyxanr. Struclure histologique des couches stralifiées de l’écorce. l’eutrage fibrillaire de l’écorce, point de réseau, 1540-41. — Exxen. Méthode de coloralion des gaines de myéline antérieure à la méthode à base d’hématoxyline de Wricenr. libres langenlielles et fibres radiaires ; feutrage, 1541-42 Structure et caracléristique de la cellule nerveuse selon Goi.c1. Struclure fibrillaire. Contractilité du proloplasma des cellules nerveuses, 1543. — Prolongement nerveux, toujours unique : prolongements protoplasmiques, multiples. Les actions réflexes du cerveau ct de Ja moelle expliquées alors par les anastomoses des prolongements proloplasmiques du réseau diffus de G£ncacn. Rapports des prolongemenls protoplasmiques avec les cellules de la névroglic ct avec les parois des vaisseaux songuins. Doctrine de.la fonction trophique des prolongements proloplasmiques, 1544. — Deux types de cellules nerveuses, molrices et sensilives ou sensorielles, rappelant les cellules des cornes antérieures ct posléricures, donnant naissance à deux calégories de libres nerveuses : 1° fibres conservant leur individualilé lout en émellant des collatérales ; : 20 fibres se subdivisant en fbrilles ramifiées à une petite distance de leur origine. Les unes el les autres concourent par les ramifications ullimes et lalérales de leurs cylindraxes à la formalion d’un réseau nerveux diffus cylindraxile dans loute l’épaisseur de la -substonce grise. Les relations analomiques et physiologiques des éléments nerveux des différentes régions de l’écorce résullent des anaslomoses reliant les fbrilles émanées des prolongements nerveux moleurs des cellules du Ier Lype avec celles des prolongements nerveux sensilivo-sensoriels des cellules du Ile type. 1545. — Mécanisme des aclions réflexes. Doctrine de Goi.e1 sur la transmission nerveuse isolée, centripète el centriluge. Voies électives el terriloires corlicaux à fonclions prédominantes. Le seul crilerium de la fonction d’une cellule nerveuse est dans la nalure de son prolongement nerveux et de ses connexions anatomiques, non dans sa forme. Point de couches stralifiées neltement isolées dans l’écorce cérébrale. Au lÿpe à cinq couches substituer le lype à trois couches (superliciclle, moyenne, prolondc) consliluées de cellules pyramidales pelites, moyennes et grandes et de cellules globuleuses et fusilormes. Les deux lypes de cellules partoul réunis eL confondus, quoique inéga-Ilcmenl. Elude histologique de FA et O, pour l’examen crilique des doctrines de Mevxenr el de Bxrz, 1546-47. — La diversité fonclionnelle des circonvolutions cérébrales s’explique, non par des particularilés de struclure, mais par la spécificité des organes périphériques avec lesquels les aires cor-Licales sonL en connexion au moyen des nerfs centripèles ou centrifuges. Constalalion ullérieure de Gotcr, sur des moclles de fœlus el de nouveau-nés, de l’exisience réelle de cellules nerveuses motrices et de cellules de sensibilité, 1548. — Base analomique pour la doctrine de la nalure mixle de lous les lerriloires corlicaux (laununixi) el pour les observalions des cliniciens el des physiologistes sur la coexistence des fonclions de la sensibilité et de la molilité dans les différentes zones de l’écorce cérébrole. Siège anatomique commun de la sensibilité générale el spéciale (tactile, visuelle, olfactive, auditive) el de l’innervalion motrice des organes des sens correspondants el cocxislence, en proportions diverses, des deux Lypes distincts de cellules nerveuses. Pas d’exception absolue, même pour la moelle, 1549. — Doctrine de Mevxenr sur l’hétérogénéilé des aires corlicales du cerveau dérivée de la nature des organes périphériques ; seule, la fibre musculaire est motrice, non l’axone ni le corps cellulaire du neurone motcur, La plaque musculaire, transformaleur d’énergie comme lout organc des sens. Tout nerf capable de provoquer l’activilé d’un muscle strié ou lisse où d’une glande n’est pas plus moteur que les racines postérieures ne sont sensilives, que le nerf oplique n’est visuel. Hüsec. Associalion et localisalion, 1550-52. — Les nerfs de la sensibililé el du mouvement comparés par MrvxenT aux pscudopodes projelés dans le monde par les êtres vivants consliluant la substance grise et blanche, sorles de prolozoaires, possédant des manifeslalions psychiques comme les monades, les rhizopodes. les amibes. Seule différence : les filaments nerveux sont des formalions permanentes. L’illusion d’unc conscience une où l’animal s’apparail comme un seul être ne repose que sur une question de degré d’intensilé et résulle de la prédominance de la colonic corlicale. Ghez un animal purement spinal (’Amphioxus) point de conscience corlicale, 1553-54. — Toules les cellules nerveuses des organes des sens ne sont que la poslérilé des cellules épidermiques modifiées, diflérenciées, par adaplalion. Les sensibilités spéciales se sont développées de la sensibilité générale. Spécialisalion des éléments cellulaires par exagéralion de l’une de leurs propriélés au détriment des autres. Cr. Binxanp. Doctrine de la spécialisalion progressive, acquise par adaplalion ct fixée hérédilairement, el de la diversité spécifique des élémeuts nerveux des centres fonclionnels de l’écorce. LH, Muxk contre W. Wuxvr. L’ablalion des deux sphères visuelles délermine une cécilé complèle. celle d’une sphère visuelle une hémianopsie qui ne s’amende jamais, 1554-56. — Four. el Gor.ci. Fone. a inauguré, avec His, la théorie des neurones. Les résullnls de la méthode d’atrophie de Guovex et ceux de la méthode d’imprégnalion de Gozat ruinent la craÿance aux anaslomoses, soil proloplasmiques, soil cylindraxiles, el au réseau nerveux diflus du système nerveux central de Gor.ct. l’eulrage résullant des rapports de conliguité des ramificalions cellulaires, Neurones (Warbeven) cenlripèles et centrifuges, sensibles et moleurs, sub-