cieux ; il nous aide à ne pas perdre de vue l’espérance dont nous vivons. Croyons, cherchons, aspirons avec toutes nos puissances. Dieu ne nous a pas donné en vain un cœur et une intelligence.
Paradis : état de santé parfaite.
Purgatoire : état de maladie curable.
Enfer : état de maladie incurable.
Il serait assez curieux de connaître l’idée que chacun de nous se fait de Dieu. Naturellement on ne peut se le représenter que par images. Pour moi, au lieu de faire du mot « vie » une abstraction, j’évoque quelque chose de vivant et je l’appelle Dieu… qui est partout. De là découle tout ce qui m’enchante et m’appelle : Beauté, Vérité, Bonté et ce qui résume tout, l’Amour, le bel amour chaud, ardent, consumant, qui implique l’oubli de soi, l’abnégation, le sacrifice et qui, bien entendu, ne connaît pas la jalousie (quel défaut ! ! !). La jalousie ! apanage de l’amour qui se galvaude dans les bas-fonds de l’âme ; celui qui n’est que féroce égoïsme ; l’amour qui hait et qui tue, l’amour qui n’aime que soi, qui n’est que la contrefaçon, la grimace de l’autre, le divin.