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Page:Souza - La Poésie populaire et le Lyrisme sentimental, 1899.djvu/112

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V

Dans les œuvres de M. Francis Vielé-Griffin le combat cesse, et non par la victoire de l’un ou de l’autre, mais par la fraternité qui unit l’être complexe au simple. L’être complexe ne se fait plus un tourment de la connaissance et de sa sensibilité ; il sait se guérir de toute douleur stérile en communiant avec des frères ; il se sert de l’acuité de sessensations pour atteindre une conscience plus profonde, plus aimante, etfinalement sereine. Il n’abdique point ; il ne laisse point humilier le Rêve par la Vie ; il pénètre le rêve de