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Page:Souza - La Poésie populaire et le Lyrisme sentimental, 1899.djvu/82

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insistance populaire des frappements du refrain, il affectionne le carillon d’une strophe qui, sautante et heurtée, fait de la chanson une sorte de balancée villageoise :

Puis violon

Haussé d’un ton,

— C’est dans le cahier à chanter —

Alors le très vieux boulanger

Qui bat sa femme

Nue corps et Ame,

Et violon

Baissé d’un ton,

C’est le soleil avec la pluie

Emménageant la diablerie

D’une Kermesse

Sans cloche ou messe (i).

Ou encore :

Or, à sa fin

C’est la semaine

(i) Enluminures, p. 65.