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Page:Spaddy - Colette, ou les amusements de bon ton, 1937.djvu/148

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— Vas-y !

Je donne une secousse : un cri aigu. Les lèvres de la cosse se tendent sous mon effort. Le membre trop volumineux se cale à l’entrée. Un second coup de reins : un autre cri plus strident. Et la moitié du gland s’insère dans les nymphes.

— Pousse ! pousse ! m’excite Colette.

Je reviens en arrière, puis je cogne de l’avant.

— Aïe ! aïe ! clame l’enfant, cabrée sous la douleur.

— Pousse, va, ça y est presque !

Le gland, en effet, a franchi l’étroit goulot dans le forcement de la muqueuse. Je lime sur place pour lubrifier la voie, et mes mains au creux des aines, harponnant solidement la croupe, je plonge à petits coups la vigueur de ma mentule. Un délice comme jamais ! Je n’en entends même plus les gémissements de Nadèje.

— Encore un coup de cul ! dit Colette qui jubile de s’en fourrer plein la vue.

Je tire à moi les jolies fesses nubiles et ramenant ma queue sur le seuil défloré, d’un seul élan, cette fois, j’enconne entièrement. Je crus entendre craquer les tendres chairs ! Un long geignement secoua le torse de la jeune fille. Il s’éteignit sous les caresses dont Colette s’était remise à lui langueter le clitoris, et dans l’ardeur qui la rejetait elle-même entre les cuisses de son initiatrice.

Alors, droit sur mes genoux, dans l’écartement