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Page:Spaddy - Colette, ou les amusements de bon ton, 1937.djvu/162

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— Y es-tu ? demanda Colette impatiente. Es-tu bien chevillé ?

— Ah ! mince ! dit le gosse, je tiens quelque chose dans le troufigne !

— Alors, dépêche ! Fais marcher ta bitte et baise-moi bien !

Abaissant sa tête sur le ventre d’André, elle lui prit son chibre entre les doigts et l’emboucha de tout son cœur, tandis que mon succube, tout raidi par la barre que je lui avais plantée, coïtait à petits coups. Je le sodomisai avec vigueur, en des refoulements d’entrailles où je l’écrasais contre la croupe de Colette. Ah ! ce que la garce jubilait, une pine dans le con, une pine dans la bouche ! Mais l’enculé eut si rapidement rendu l’âme qu’il lâcha sa fouteuse en pleine jouissance et déconna sous les chocs impétueux de mon boutoir.

Dans l’exaspération de son extase manquée, Colette se dresse, enjambe à reculons les cuisses d’André, s’enconne avec son vit et chevauche d’une folle rage, le visage couché sous les lèvres du gamin qui la ceinture de ses bras. Sans la décheviller, je pousse ma tapette entre leurs jambes, sous les jupes ; Colette plie les jarrets sur ses épaules, lui prend la tête, la loge entre ses cuisses.

— Suce-moi le bouton, vaurien ! lui dit-elle, les yeux chavirés, déjà toute haletante de plaisir.

Et tandis qu’il se démenait du cul sous la perfo-