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Page:Spaddy - Colette, ou les amusements de bon ton, 1937.djvu/97

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me fit tâter d’un, dont l’effet fut immédiat. Alors que la fillette m’asticotait d’un ongle léger le tour du sphincter, elle m’introduisit dans l’urètre une plume de colibri dont elle me tortilla de haut en bas la barbe ténue. Sous la démangeaison de cette soie tout le long du canal déjà fort enflammé par l’excès, mon vit qu’Arlette, à califourchon sur ma figure, patinait à petits coups de langue fort déliés, se gonfla soudain par l’effet d’un délice à en mourir.

— Et si tu veux jouir comme jamais, me dit Colette, baise la gosse avec cette plume dans ton vit.

Elle se pénétra d’un godemiché à double fin, de la longueur de deux verges bout à bout, s’allongea, tenant en l’air l’autre tête du nœud, et Arlette s’accroupit à reculons sur elle. Par-dessous ses cuisses, celle-ci se saisit du manche qui lui était destiné, et d’une pression progressive des fesses, se l’enfila dans le derrière. Quand Colette la sentit solidement enculée, elle la renversa de dos contre sa poitrine, et jambes enroulées aux siennes, elle me présenta l’exquis écartement où se renflait, coupée de son entaille écarlate, la motte blond cendré.

— Allez, plante-le ! et vas-y dur ! Je le lui ai mis plus de cent fois et des gros ! Seulement, laisse-moi le plaisir de t’ouvrir moi-même son conin et de t’y introduire.