Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/111

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(213) CHARADE.

Adieu mon tout, si mon dernier
Te porte à couper mon premier.


(214) ÉNIGME.

Notre nombre est toujours compté :
On nous connaît tant que nous sommes ;
Nous ne pouvons, aux yeux des hommes,
Paraître qu’à l’extrémité.
Quelquefois près de nous l’envie
Réside pour quelques momens ;
Le fer nous retranche en tous temps,
Mais il nous conserve la vie.


(215) CHARADE.

Vous tondez mon premier,
Vous rasez mon dernier,
Vous lisez mon entier.


(216) LOGOGRIPHE.

Mon nom fait sourire un buveur ;
J’ai quatre pieds ; en les changeant de place,