Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/118

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Qu’un amant soit pour quelques torts
Grondé par son amie,
Mâle, je parais, et, dès-lors,
La querelle est finie.
Mais femelle, hélas !
Viens-je sur leurs pas ?
Elle crie et se sauve :
De moi, par malheur,
Les Grâces ont peur,
Sur-tout quand je suis chauve.


(229) CHARADE.

Mon premier, par un sort bizarre,
Pour l’un ne saurait être heureux,
Qu’au même instant, chose peu rare,
Pour l’autre il ne soit malheureux.
Dans mon second, jadis en France,
Nos preux exerçaient leur vaillance,
Et s’égorgeaient par passe-temps :
Mon tout est la touchante ivresse,
Que votre voix enchanteresse,
Forte sans cesse dans nos sens.


(230) LOGOGRIPHE.

Avec ma tête, avec ma queue,
J’empêche plus d’un accident :