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Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/68

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Quoique fait
Avec terre,
Et sans pierre.
Je contiens
Et soutiens
La famille
Qui babille.
Quelquefois
Un matois
Me renverse,
Puis exerce
Sa rigueur,
Quel malheur !
Contre gente
Innocente
Qui jamais
N’en put mais.
Mon asile
Inutile
En saisons
Des glaçons,
Est sans hôte ;
Mais sans faute
Le printemps
Est un temps
Qu’on l’habite
Au plus vite.
Il devient