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Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/96

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(186) ÉNIGME.

J’ai deux bras d’une trempe dure,
Et lorsqu’en certain lieu quelqu’un les a
menés,
Je ne voudrais pas, je vous jure,
Vous prendre par le bout du nez.


(187) CHARADE.

Mon premier mène à l’échafaud :
Par des routes plus naturelles
Mon dernier conduit au tombeau :
Mon tout a la haine des belles.


(188) ÉNIGME.

Contre mes étroites bornes,
Souvent on s’est récrié :
Hélas ! je porte des cornes,
Et ne suis point marié.


(189) CHARADE.

Mon premier soutient la maison ;
Mon second est un fruit de l’arrière-saison ;