la Raison, c’est-à-dire le Désir suprême par lequel il s’applique à gouverner tous les autres, est celui qui le porte à se concevoir adéquatement et à concevoir adéquatement toutes les choses pouvant être pour lui objets de connaissance claire.
Il n’y a donc point de vie conforme à la raison sans la connaissance claire ; et les choses sont bonnes dans la mesure seulement où elles aident l’homme à jouir de la vie de l’Âme, qui se définit par la connaissance claire. Celles qui, au contraire, empêchent que l’homme ne perfectionne la Raison et ne jouisse d’une vie conforme à elle, celles-là seules, nous disons qu’elles sont mauvaises.
Puis donc que tout ce dont l’homme est cause efficiente, est nécessairement bon, rien de mauvais ne peut arriver à l’homme si ce n’est de causes extérieures ; je