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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Autour de Honoré de Balzac, 1897.djvu/93

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Gautier, Granier de Cassagnac et Ourliac appartiennent à cette pléiade de jeunes talents qui, les premiers, ont franchement salué M. Victor Hugo comme un grand poète, et pour moi ce courage de l’admiration me paraît une marque de supériorité… »

Après avoir énuméré, dans le numéro du 25 septembre, les noms des plus éminents adeptes de l’école dite de la littérature à images, Balzac ajoute :

« … Tous ces poètes ont peu le sentiment du comique ; ils ignorent le dialogue, à l’exception de M. Gautier, qui en a un vif sentiment… »

Mais une des preuves les plus curieuses de l’attention soutenue avec laquelle l’auteur de la Comédie humaine suivait la production littéraire de son ami, se rencontre dans le