« Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle. »
Sed non satiata.
« Avec ses vêtements ondoyants et nacrés. »
REVUE FRANÇAISE ; 30 avril 1857.
Le Serpent qui danse.
Une Charogne.
De profundis clamaci. (La Beatirx) LE MESSAGER DE l’Assemblée ; 9 avril 1851 Le Spleen. REVUE des DEUX MonDES ; 1er Juin 1855
Le Vampire.
« Une nuit que j’étais près d’une affreuse juive. »
Remords posthume. REVUE DES DEUX MonDES ; 1er juin 1855.
Le Chat.
Duellum. L’ARTISTE ; 19 septembre 1858.
Le Balcon.
Le Possédé. REVUE française ; 20 janvier 1859.
Un Fantôme. L’ARTISTE ; 4, -) octobre 1860-
Contient 1° les Ténèbres ; 2° le Parfum ; 3° le Cadre ; 4° le Portrait.
« Je te donne ces vers, afinque si mon nom.
REVUE FRANÇAISE ; 20 avril 1857.
Semper eadem. REVUE contemporaine ; 15 mai 1860.