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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/314

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H. MONNIER ET SES ÉPAVES. 307 dramatique du TemPs a exprimé le désir de la voir comblée, et il réclamait de nouveau, dans le XIXE Siècle du 27 avril 1890, ce chapitre absent de l’étude de M. Champfleury. Nous avons tenté d’en rassembler les élé- ments, et nous espérons rendre service aax amateurs de ce genre de recherches, en indi- quant ici toute une série de travaux d’Henri Monnier non reparus en librairie. Peut-être se trouvera-t-il ensuite un ami des lettres dis- posé à réunir ces épaves pour les publier en volumes. Les lecteurs feraient certainement bon accueil à cette résurrection d’œuvres tout à fait inconnues aujourd’hui, et très dignes pourtant d’échapper à l’oubli. Il y a de tout dans ces mélanges non recueil- lis. Aussi, toutes réserves faites cependant au sujet des erreurs et des doubles emplois que peut contenir notre catalogue, nous espérons et pensons qu’en dehors de lui, il ne doit pas rester grand’chose à retrouver des pages per- dues de l’écrivain. Lettre sur le Salon. REVUE DES DEUx Mon- DES, p. 33S, t. II. 1831.