Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/33

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

26 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. Portrait de Madame Jabulot t, et promit en outre toute une série de travaux qu’il n’écrivit jamais. re Il août, ce journal annonce de lui le Rapin ; puis, quelques jours après, sous le titre général de les Bourgeois et les Artistes, il promet I. le Rapin ; II. Mademoiselle Zinzo- line III. la Famille du Modèle enfin, à pro- pos de cette série, il publie, dans un prospectus paru en décembre 1839, les lignes suivantes « Dans ces articles, M. Gautier mettra aux prises deux races si bien faites pour s’estimer et ne jamais se comprendre. Ni l’esprit ni la verve pittoresque ne manqueront à la peinture de ces mœurs excentriques, décrites par un écri- vain dont la plume est si souvent un pinceau. Il D’autres articles encore furent promis à ce journal sous les titres suivants Mes Cachots (pour faire suite azlx Prisons de.Silvio Pellico) les Cachots du quai d’Austerlitz Mon Spielberg. Ces trois derniers ne durent jamais être qu’un unique et même article dont l’en-tête seul varia. Aucun d’eux ne fut, du reste, écrit ; les derniers .1. La Tribune dramatique des 4 juin 1842 et juillet 1843 an- nonce encore 1— la Famille Jabcndot 2° les Jabulot, qui nepu- jurent jamais. N’était-ce qu’une réimpression de ce morceau ?