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Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/35

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.28 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. si longtemps la publication. Nous nous sommes empressés d’en informer notre voyageur pour qu il nous renvoyât un double de ses vers ; mais, les ayant plutôt improvisés que composés, il nous répond œ qu’il n’en a pas gardé copie ». Un livre dont le texte ne fut point perdu du moins pour les lecteurs, c’est les Poésies espa- gnole.s, un volume in-octavo, que nous trouvons inscrit, en 1842, sur la couverture des Capri- ces, par M. L.-G. des Rogues, ouvrage publié par Desessart, et, en 1843, sur celle des livraisons des Actrices de Paris, publiées chez Delavigne. Il forma, en 1845, sous le titre d’Es- pana, la partie inédite des Poésies complètes de Théophile Gautier réunies pour la première fois. En revanche, le portrait de Madame Da- moreau Cinti, promis par lui aux Actrices de Paris, ne fut jamais imprimé dans cette col- lection. Ce n’était peut-être du reste qu’une réimpression de son article du Figaro de 1837, article recueilli aujourd’hui dans ses Portraits contemporains. La Tauraumachie, parue dans le Musée des familles en août 1843, fut d’abord annoncée