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ROSALBA.
Cependant, ma chère Nérine, il me paroît que…
NÉRINE.
Qu’il me fait sa cour, voulez-vous dire ? Il me raconte ses campagnes, et moi je les écoute ; ce qui, j’en conviens ; est une coquetterie bien décidée ; mais, en reconnoissance, il me mariera avec Sabord, et j’en serai bien heureuse, car j’aime Sabord.
ROSALBA.
Comme moi Derval.
DERVAL.
Ah ! chère Rosalba !
NÉRINE.
J’entends le capitaine ; laissez-moi seule avec lui. Je vous dirai, dès qu’il sera sorti, ce qu’on peut espérer.
Scène VIII.
LE CAPITAINE, NÉRINE.
LE CAPITAINE.
Ah ! te voila, Nérine ; que je suis aise de te trouver seule ! Dis-moi, ma toute belle, est-ce