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RODOLPHE.
Je suis éveillé.
ZÉPHIRINE.
Vous vous levez.
RODOLPHE.
Me voici debout.
ZÉPHIRINE.
Ah ! pas comme cela. Il faut que vos mouvemens soient doux, arrondis.
RODOLPHE.
Mais mon habit est si serré que je ne puis remuer les bras que pour faire l’exercice.
ZÉPHIRINE.
L’exercice ! quelle horreur ! Ôtez votre habit et mettez mon schall à la place.
RODOLPHE.
Votre schall ! qu’est-ce que cela signifie, petite sorcière ?
ZÉPHIRINE.
Obéissez.
RODOLPHE.
Mais voyez donc ! elle me parle comme mon général.