Page:Staerk - Le P. Jean de Cronstadt, vol. I, 1902.djvu/152

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et de nos actions ? Oh ! malheur ! malheur, malheur à nous, qui portons le nom du Christ et qui n’avons en nous rien de l’Esprit du Christ ! Malheur à nous, qui portons le nom du Christ et qui ne suivons pas les préceptes de l’Évangile ! Malheur à nous, qui négligeons une doctrine si salutaire (Hebr. II, 3). Malheur à nous, qui ne possédons ni la foi, ni l’espérance, ni la charité chrétienne ! Malheur à nous tous, qui aimons ce siècle illusoire et temporel, et qui négligeons de nous occuper du siècle qui commence après la mort de notre corps, après la disparition de ce rideau éphémère qui nous voile l’Éternité ![1]

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