Aller au contenu

Page:Stenay - Portraiture d’une famille prussienne, 1888.djvu/27

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Naündorff-Einert, il n’y a plus ici-bas, outre les trois susnommés[1], que deux filles mariées à des Hollandais. Nous n’en parlerons pas, car elles ont eu, dit-on, le bon esprit de ne pas poser pour la galerie Naündorffienne et de se tenir en dehors des menées de leur intrigante sœur Amélie.

Quant aux enfants d’Edmond et d’Adelbert, bien qu’ils soient l’espoir du naündorffisme et de sa perpétuité (!?), il est fort inutile d’examiner leur minois, n’en déplaise aux Naündorff et à leurs thuriféraires, les fanatiques rédacteurs de la Légitimité de Toulouse.

*
* *

C’est la main sur la conscience que nous avons tracé ces lignes : notre critique s’est renfermée dans la simplicité de la vérité qui dédaigne les visées littéraires, sauf la clarté du style. Notre but, on le sait, est de servir la vérité, rien que la vérité pour l’amour de la vérité elle-même, super omnia veritas !

Si notre langage déplaît à un vaillant évêque français, fourvoyé dans le Naündorffisme au point de recevoir à sa table la pseudo-princesse Amélie, Sa Grandeur saura pourtant nous approuver un jour, nous n’en doutons pas, – soit dit sans présomption, – quand elle aura lu notre étude intitulée : Naündorff démasqué par lui-même et ses amis. – Réfutation de la thèse de ses partisans sur sa prétendue

  1. P.-S. ─ Adelbert étant mort, le nombre est réduit à deux.