Aller au contenu

Page:Stenay - Portraiture d’une famille prussienne, 1888.djvu/93

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Trois cents souscriptions, à deux francs cinquante centimes chacune, suffiraient pour commencer l’impression. Une seule personne pourrait se charger de les centraliser. Est-ce trop demander aux honorables naündorffistes qui, depuis 1883, donnent dix francs tous les ans pour gober les mensonges de la Légitimité ?

Si cet appel n’était pas agréé par les honnêtes serviteurs de l’erreur, il faudrait conclure forcément qu’ils ont peur de la lumière et partant de la vérité : ils cesseraient d’être des honnêtes gens !

Comte d’Hurtubise.

S..., 20 février 1887.


Nota. ─ Pour traiter, s’adresser à M. Collin la Herte, à Montargis (Loiret).

*
* *

N. B. ─ Au mois de septembre 1887, une copie manuscrite d’une partie de cet Avis ayant été communiquée à un prêtre naündorffiste pur sang, M. Roubaud, de Saint-Tropez, celui-ci l’envoya à la Légitimité avec prière de l’insérer ; mais il paraît que la pauvrette a trouvé plus prudent pour elle et la cécité de ses abonnés de ne rien divulguer. Elle aime tant la vérité ! Sa droiture ne pouvait mieux agir : c’est la conspiration du silence. Félicitations à qui de droit.

C. la H.