Page:Stendhal - De l’amour, I, 1927, éd. Martineau.djvu/87

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Un soir, à un petit jeu, il lui a baisé la main ; on remarque que depuis elle ne permet plus, sous aucun prétexte et même au risque de paraître singulière, qu’on lui baise la main.

Dans un homme, on appellerait cette conduite de l’amour féminin, nous disait Léonore.