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[Août-Septembre 1810.]

Le plaisir les peindrait, l’instruction les dissèque.

Myse[lf]

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ME MARIE partit pour A. 2,]e 16 août )Wa 1810, je crois. J’avais su, le 3 août, -a- que j’avais été nommé auditeur le ler. Je me sentis las de Paris, je n’y pou1. Beyle a écrit en tête de ce nouveau cahier a Djorn’L Jrom the 16th august 1810, till tAc. et au-dessous .~<K. [un peu frold], non pas triste, mais gai par nature et non pas plus gai parce qu’il voit Marie ’P’ Les trois questions du mardi 18 décembre 1810. « Deux défauts oj myselJ [de moi-même], nuisibles to mg talent and to my happiness (à mon talent et à mon bonheur]. « Scott dit le 5 marc/ 1813 a La monarchie oj the France tvas a despotisme [de la France était un despotisme], tempéré par les usages, le principe est le même, mais les usages n’existent plus, et c’est un d(espotisme]. « La lecture de ce journal m’attriste par sympathie avec l’ennui de l’ambition, et non par comparaison avec ma tranquille et obscure situation actuelle. 26 juin 1815, in Milan, » Voir plus loin p. 45, à la date du 18 décembre, les trois questions tt Est-il jeune. ? etc. » . Amsterdam, où Mm. Picrre Daru alla retrouver son mari. Cf. Correspondance, t. III, p. 271. JOURNAL