Page:Stendhal - Les écrits érotiques de Stendhal, 1928.djvu/15

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Voilà qui est parfait ; moi, je serais allé mourir dans un coin, de douleur, si j’avais été amoureux, de vanité blessée, si je ne l’avais pas été.

L’esprit de ce jeune homme lui fait éviter le deuxième malheur et lui donne le seul moyen qui lui restât d’avoir sa belle.

8 germinal

Louason m’a raconté avec beaucoup de vivacité plusieurs événements qui lui sont arrivés, elle me traitait en amant heureux.

Je l’ai fait rire en lui répétant la pantomime que je faisais à Mme Mortier, elle m’a dit en riant beaucoup que Dugazon lui avait dit ou avait dit qu’elle avait le foutre tragique, qu’il lui en faudrait long comme cela.

Ces choses grossières, ici en squelettes,