accident ; cela retomberait dans le « Meyenau », de « Misanthropie et repentir ».
Le vrai Babilan doit se tuer pour ne pas avoir l’embarras de faire un aveu. Moi (mais à 43 ans et 11 mois), je ferais un bel aveu ; on me dirait : qu’importe ! Je mènerais ma femme à Rome. Là, un beau paysan, moyennant un sequin lui ferait trois compliments en une nuit.
Mais cette vérité est du nombre de celles que la peinture « par du noir et du blanc », la peinture par l’imagination du spectateur ne peut pas rendre. Que de choses vraies qui sortent des moyens de l’art ! Par exemple, l’amour inspiré par un homme sans bras ni jambes, comme l’infâme caricature qui déshonore votre bureau.
Il me semble que le Babilan ne doit pas être cocu. Le vrai beau cocu est « Émile »,