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PREMIÈRE PRÉFACE[1]
Cet ouvrage-ci est fait bonnement et simplement, sans chercher aucunement les allusions, et même en cherchant à en éviter quelques-unes. Mais l’auteur pense que, excepté pour la passion du héros, un roman doit être un miroir.
Si la police rend imprudente la publication, on attendra dix ans.
2 août 1836.
- ↑ Cette préface, publiée par Colomb comme seconde préface, mais à laquelle nous redonnons sa priorité chronologique, ne se retrouve plus dans les manuscrits de Grenoble. N. D. L. É.