l est bien singulier et il serait bien
agréable aux yeux d’un Français
qui serait plus patriote que libéral,
de voir que l’époque de la perte totale
de la liberté en Angleterre, n’est autre que
le jour de la bataille de Waterloo.
C’est alors que les nobles et les riches de toute espèce ont définitivement signé un traité d’alliance offensive et défensive contre les pauvres et les travailleurs.
Je suis loin de trop blâmer les aristocrates ; leur sûreté est en péril. Un impôt, pour être productif, doit être payé par le plus grand nombre ; en Angleterre le produit des impôts est employé contre le plus grand nombre.
Comme je ne suis pas ici pour faire l’éducation des niais, je ne chercherai pas à prouver cette singulière assertion.
Les aristocrates de la Chambre des pairs nomment la majorité de la Chambre des