vaille à un ouvrage important sur le lieu précis où était situé le paradis terrestre. Le lord, dont le génie sombre adore les fictions orientales, traduira ce paradis en anglais.
À sa place, je me ferais passer pour mort, et je recommencerais une nouvelle vie comme M. Smith, bon négociant à Lima.
usina, 27 juin. — Je me précipite
hors de Venise. Je ne veux plus
m’occuper que d’idées sèches.
ilan, 10 juillet. — Je n’ai rien écrit.
Les opéras, la musique, les tableaux,
Venise, Trévise, Vicence, Vérone,
Brescia, tout cela a passé devant mes
yeux comme un songe. — Par devoir,
cependant, je cherche à me rappeler
quelques observations ; je me souviens
qu’à Vérone je trouvai au café, vis-à-vis
l’amphithéâtre, Vestri, cet excellent acteur.
Il me dit en d’autres termes le fameux
sonnet de Lope de Vega, relatif aux six