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Page:Stendhal - Vie de Henri Brulard, t1, 1913, éd. Debraye.djvu/85

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VIE DE HENRI BRULARD

M. de Saint-Ferréol, dont depuis je n’ai jamais ouï parler, était mon ennemi et mon rival, M. de Sinard, ami commun, nous calmait. Tout cela se passait dans un magnifique rez-de-chaussée donnant sur le jardin de l’hôtel des Adrets, maintenant détruit et changé en maison bourgeoise, rue Neuve, à Grenoble. A la même époque commença mon admiration passionnée pour le Père Ducros (moine cordelier sécularisé, homme du premier mérite, du moins il me semble). J’avais pour ami intime mon grand-père, M. Henri Gagnon, docteur en médecine.

Après tant de considérations générales je vais naître.