Page:Stendhal - Vie de Rossini, Lévy, 1854.djvu/368

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parates, n’est autre chose que la raison ou le sentiment, ou la passion. Quelle est donc la conséquence de tout ceci ? quel en est le résultat ? Voulez-vous que je vous le dise à l’oreille ?… Mais non, vous ne me croiriez pas, et cependant je vous aurais découvert le secret de mon âme. Adieu ; condamnez-moi, critiquez-moi, mais aimez-moi ; je me louerai de votre bonté, et je ne sentirai qu’elle. »