Page:Stendhal - Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1928, éd. Martineau.djvu/160

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
que s’il y avait une académie de musiciens en France, il y aurait un moyen bien simple de leur faire faire leurs preuves ; ce serait de les prier d’envoyer à l’académie dix lignes de musique, sans plus.

Mozart écrirait :

Voi che sapete.