Page:Stendhal - Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1928, éd. Martineau.djvu/258

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Les vendanges, où des buveurs chantent d’un côté, pendant que la danse occupe les jeunes gens du village, forment un tableau agréable. Le chant des buveurs est mélangé avec l’air d’une danse nationale de l’Autriche, arrangée en fugue. L’effet de ce morceau plein de verve est très piquant, surtout dans le pays. On le joue souvent en Hongrie pendant les vendanges. C’est la seule fois, je crois, que