Aller au contenu

Page:Stephens - The Book Of France,1915.djvu/178

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
163
LES SOLDATS DE 1914

Soldat de dix-neuf cent quatorze, cher humain,
Je laisserai s’ouvrir docilement ma main
Qui fermait sur le monde une étreinte acharnée ;
Et, simple comme au jour d’automne où je suis née,
Je verrai sans regret mon esprit s’engloutir
Dans votre éternité joyeuse de Martyr !


La Comtesse de Noailles.