Page:Sterne - Œuvres complètes, t3-4, 1803, Bastien.djvu/471

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

une larme de l’œil d’une femme. — Et cependant, excepté l’occasion où Mistriss Wadman avoit abusé de sa bonne foi, il n’avoit jamais osé arrêter ses regards sur l’œil d’aucune femme.

Il disoit souvent à mon père, dans l’admirable simplicité de son cœur, que fixer une femme, c’étoit presque (sinon tout-à-fait) la même chose que de lui tenir un propos obscène.

« — Et quand cela seroit, disoit mon père. »