Page:Sterne - Œuvres complètes, t5-6, 1803, Bastien.djvu/342

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par le génie présent de Sterne, il est inutile de le chercher ailleurs que dans cette inspiration. Il n’est pas dans un dictionnaire, et le froid a glacé le traducteur dans l’intervalle de ses recherches. Il faut enfin méditer et sentir Sterne pour le traduire ; tout autre moyen est insuffisant.

Si l’on veut connoître plus au long le jugement singulier que cet écrivain portoit sur ses sermons, on peut recourir à la digression plaisante qui se trouve à la fin de l’histoire de Lefèvre, tome III, page 156 et suiv.