Page:Sterne - Œuvres complètes, t5-6, 1803, Bastien.djvu/425

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un mélange de peines, combien cette pensée ne doit-elle pas nous engager à détourner nos yeux et nos affections de cette perspective obscure, et à les fixer sur cette contrée plus heureuse, où Dieu essuiera à jamais les pleurs qui coulent sur nos joues ? Ainsi soit-il.