Page:Stevenson - Catriona.djvu/287

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avait vidées à la taverne. J’étais tenté parfois de m’en débarrasser en lui prêtant une forte somme d’argent ; mais il aurait emmené sa fille, et je ne pouvais me résigner à cette séparation. Je dois avouer, d’ailleurs, qu’il m’en aurait coûté de dépenser mon argent pour un pareil individu.