Page:Stevenson - Herminston, le juge pendeur.djvu/347

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NOTE DE L’ÉDITEUR ANGLAIS


Sur ces derniers mots « une explosion volontaire de sa nature inculte » le roman de Weir of Hermiston s’arrête brusquement. Ces derniers mots ont été dictés, je crois, le matin même de la mort de l’auteur, survenue brusquement après un court accès de sa maladie. Weir of Hermiston demeure donc, dans l’œuvre de Stevenson, ce qu’a été pour Dickens son Edwin Drood, et pour Thackeray son Denis Duval. Hermiston occupe pourtant une toute autre place pour Stevenson, car si ces fragments de Dickens et de Thackeray ne font qu’avoir encore une certaine valeur, les fragments de Weir indiquent l’apogée du talent de Stevenson.