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L’ÎLE AU TRÉSOR

La marée baissait déjà depuis quelque temps, et je dus patauger à travers un long banc de sable détrempé où j’enfonçai plusieurs fois jusqu’au-dessus de la cheville, avant d’arriver au bord de la mer descendante. Je m’y avançai de quelques pas, et, avec un peu de force et d’adresse, déposai mon coracle, la quille par en bas, à la surface de l’eau.